Les graffitis problématiques: ce qu’il faut faire pour les signaler

Graffitis haineux

Les graffitis haineux sont motivés par la haine ou les préjugés liés à la race, à la nationalité, à l’origine ethnique, à la langue, à la couleur de la peau, à la religion, au sexe, à l’âge, aux handicaps mentaux ou physiques, aux orientations sexuelles ou à tout autre facteur comparable.

Graffitis vexatoires

En règle générale, ces graffitis ont un caractère obscène ou vexatoire et comportent entre autres des jurons ou des dessins à caractère sexuel, sans toutefois être inspirés par des motifs haineux.

Vandalisme par graffitis

Cette forme de vandalisme consiste à écrire, peindre ou dessiner un symbole, ou « tag », pouvant ou non comprendre des lettres. Les graffitis de ce type ne sont pas considérés comme vexatoires ni haineux et sont dessinés sans l’autorisation ni l’accord du propriétaire des lieux.

Pour signaler un graffiti problématique

Ne faites pas comme si les graffitis problématiques n’existaient pas : signalez‑les! Vous pouvez créer une demande de service pour signaler un graffiti sur le domaine privé et sur le domaine public.

  • Le domaine privé comprend les logements résidentiels, les entreprises, ainsi que les immeubles commerciaux et industriels.
  • Le domaine public et les infrastructures municipales comprennent les biens‑fonds, les caissons de services publics et les écoles de la Ville d’Ottawa, les biens-fonds de la Commission de la capitale nationale et des autres ordres de gouvernement, ainsi que les distributrices de journaux et les chemins de fer.

Graffitis haineux

Où que vous soyez, veuillez appeler immédiatement la Section des crimes haineux du Service de police d’Ottawa au 613-236-1222.

Graffitis vexatoires ou vandalisme par graffitis

Vous pouvez signaler les graffitis vexatoires ou le vandalisme par graffitis en appelant au 3‑1‑1 ou en consultant en ligne les rubriques suivantes :

Graffitis sur les biens d’OC Transpo

Les biens d’OC Transpo comprennent les autobus, les trains, les arrêts d’autobus, les abribus, les bancs publics, les garages ou les bâtiments administratifs.